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PREVORGA accompagne les entreprises et leurs salariés face aux situations traumatisantes

Dans le monde professionnel, les entreprises et leurs salariés peuvent être exposés à diverses situations traumatisantes, telles que des accidents, des décès, des plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) ou même des actes de violence comme des agressions, des braquages,… Nous sommes conscients de l’impact profond que de telles situations peuvent avoir sur le bien-être et la santé mentale de chacun.

Il est essentiel d’accompagner ces événements avec précaution et empathie, en mettant en place des mesures de prévention tertiaire qui visent à soutenir les individus affectés et à favoriser leur résilience. En tant qu’acteur engagé dans le domaine de la prévention des risques professionnels et de la psychologie du travail, PREVORGA se positionne comme un partenaire de confiance pour accompagner les entreprises et leurs salariés dans ces moments délicats.

Nous intervenons en mettant en place des cellules d’écoute et de soutien psychologique, avec pour objectif principal de fournir une assistance attentive et bienveillante à ceux qui en ont besoin. Notre réactivité dans la mise en œuvre de ces démarches est une priorité, car nous comprenons l’urgence et la sensibilité de telles situations.

Grâce à notre expertise en psychologie du travail et en gestion de crise, nous sommes en mesure de proposer des interventions adaptées, comprenant des entretiens individuels et des sessions collectives d’échanges. Notre approche est centrée sur l’écoute active, le soutien émotionnel et le renforcement des ressources internes des individus. Il s’agit également pour nous, d’identifier des actions de prévention plus collectives, permettant d’agir sur les risques psychosociaux en entreprise.

Les avantages de cette démarche vont bien au-delà de l’aspect immédiat de la gestion de crise. En accompagnant les salariés dans leur processus de rétablissement, nous favorisons la création d’un environnement de travail plus solidaire et bienveillant. De plus, en montrant une réelle préoccupation pour le bien-être de leurs collaborateurs, les entreprises renforcent leur image d’employeur responsable et engagé. La reconnaissance du mal-être occasionné par de telle situation étant primordiale.

Chez PREVORGA, nous croyons fermement en la puissance de l’empathie et du soutien mutuel pour surmonter les moments difficiles. En nous associant aux entreprises pour accompagner leurs salariés dans ces épreuves, nous œuvrons ensemble pour un monde professionnel plus humain et résilient.

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Nos chiffres clés – formations 2023

🙏Merci à nos stagiaires pour leur participation à nos formations réalisées au cours de l’année 2023!
Vous nous avez sollicité pour les sujets suivants :
✅ Evaluation des risques professionnels,
✅ Veille réglementaire
✅ Lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes au travail
✅ Formation des tuteurs / intégration
✅ Sauveteurs secouristes du travail
Et vous avez apprécié :
👍 les mises en situation, les cas concrets, les jeux de rôles, l’application du contenu des formations à votre activité réelle, les solutions apportées face à des problématiques terrain,…
▶️ L’année 2024 est déjà entamée et de beaux projets de formation sont déjà en route ! Merci pour votre confiance!!

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Chiffres clés formation PREVORGA – 2022

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Nos chiffres clés – Formations PREVORGA 2022

Nous remercions les entreprises, les collectivités, les stagiaires qui nous ont fait confiance pour assurer leurs formations en qualité-santé-sécurité au cours de cette année 2021.

Les thématiques que vous avez plébiscitées : 

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Formations des acteurs de la prévention Formations sécurité et risques au travail

Formation “devenez référent COVID en entreprise”

OBJECTIFS DE LA FORMATION :

A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de :

  • Comprendre les modes de transmission
  • Connaitre son rôle en tant que référent COVID
  • Communiquer efficacement sur le sujet

A QUI S’ADRESSE CETTE FORMATION :

  • Direction, encadrement,
  • Référent sécurité / référent COVID
  • Membre CSE-CSSCT
  • Toute personne participant à l’identification des risques et à la mise en place d’actions de prévention

 PROGRAMME DE LA FORMATION :

  • Connaitre le risque lié à la COVID 19 :
    • modes de transmission,
    • identification des situations dangereuses
    • et des moyens de prévention
  • Appréhender les exigences gouvernementales : protocoles sanitaires,…
  • Cerner le rôle du référent
  • Communiquer et mobiliser les équipes
  • Cas pratiques

VALIDATION DES ACQUIS DE LA FORMATION :

  • Une attestation de fin de formation sera délivrée à chaque stagiaire participant à l’ensemble de la formation.
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Désigner un référent COVID en entreprise : pas obligatoire mais fortement recommandé

Suite à la mise à jour du protocole sanitaire en entreprise, le 29 octobre 2020, la désignation d’un référent COVID est prévue pour assurer la santé et la sécurité des salariés pour faire face à l’épidémie de Covid 19.

Il faut noter que le protocole ne fait pas référence à une obligation à proprement parler mais que selon le code du travail, l’employeur a une obligation de moyens renforcés pour en ce qui concerne la préservation de la sécurité et la santé de ses salariés.

La désignation d’un référent COVID dans les entreprises est donc fortement recommandée.

Celui-ci peut être le dirigeant lui-même (notamment dans les entreprises de petites tailles), un membre du CODIR, un membre du CSE-CSSCT, ou tout autre collaborateur souhaitant s’investir de cette fonction.

Le référent COVID a pour missions :

  • De s’assurer du respect des règles et des mesures mises en place dans l’entreprise (gestes barrières, mesures d’hygiènes, sens de la circulation,…)
  • D’informer et conseiller les salariés en ce qui concerne les mesures sanitaires
  • Mettre en application le protocole de prise en charge d’une personne présentant des symptômes et de ses cas contacts en entreprise (contact tracing,…)

L’appréhension de ce cadre et de ces différentes missions peut être facilitée par le suivi d’une formation « devenir référent COVID en entreprise ».

A l’issue, le futur référent est capable de :

  • Connaître les risques liés à la COVID 19 : modes de transmission, identification des situations dangereuses et des moyens de prévention
  • Connaître son rôle en tant que référent COVID de son entreprise
  • Communiquer efficacement sur le sujet
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Les formations communes au dialogue social, vous connaissez?

« Face aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux auxquels est aujourd’hui confronté le monde du travail, une grande partie des attentes des entreprises et des salariés passe par le dialogue social.

Le dialogue social, dans son acceptation large au sein du BIT recouvre toutes les formes de négociation, de consultation, d’information et de concertation à quelque niveau que ce soit et selon des modalités diverses, entre les représentant(e)s des employeurs et des travailleurs et éventuellement des pouvoirs publics, sur des questions économiques et sociales présentant un intérêt commun. »

Cet enjeu stratégique est le fruit de plusieurs réflexions qui ont amené le législateur à renforcer la formation des acteurs du dialogue social des entreprises Françaises afin d’en améliorer les pratiques.

De ces travaux et pour répondre à cet objectif, les formations communes au dialogue social ont été créées afin de réunir autour d’une même table, les représentants des employeurs et les représentants des salariés.

  • Pédagogie :

Les principes pédagogiques sur lesquels reposent les formations communes au dialogue social sont : la neutralité, l’équidistance et l’empathie.

La pédagogie est centrée sur la relation entre les acteurs afin de montrer en quoi celle-ci a un impact sur le processus et le résultat.

Il s’agit d’amener les participants à s’interroger :

  • sur la manière dont ils échangent entre eux, sur la manière dont ils se parlent
  • de leur donner des outils, des clés pour écouter vraiment, s’exprimer utilement, définir, respecter et reconnaître les rôles, distinguer les ressentis des faits,…

afin de réguler leur relation pour qu’elle devienne positive et constructive et instaurer une véritable culture fondée sur la confiance et l’échange.

Recette de la dynamique collective

Atelier collaboratif permettant de montrer la richesse d’une réflexion collective

Le dialogue social : de quoi parle t-on ?

  • Point sur les notions clé : informer et consulter (concerter) 
  • Construire une définition commune du dialogue social

CSE : cadre juridique du dialogue social

  • Loi travail pour la modernisation du dialogue social
  • Présentation cadre lié aux formations communes au dialogue social : cahier des charge INTEFP

 

PREVORGA fait partie des organismes de formation référencé par l’Institut de formation du ministère du Travail (INTEFP) pour accompagner l’amélioration du dialogue social au sein des entreprises du territoire.

Nous vous proposons un programme de formation sur mesure dont l’intitulé est :

DIALOGUE SOCIAL ET CSE : 

La recette pour construire une relation de qualité avec le CSE et développer une culture de confiance et d’échanges

Durée : 1 ou 2 jour(s)

Public : groupe de 10 personnes maximum avec une composition proche de la parité entre membres de la direction et représentants du CSE.

Objectifs :

  • Connaître et s’approprier les enjeux du dialogue social et de la négociation
  • Identifier les facteurs-clés permettant une relation positive et constructive entre les parties pour un dialogue social de qualité.
  • Favoriser le développement d’une culture du dialogue social à travers l’expérimentation et l’appropriation d’une méthodologie co-construite.

Comment bien informer et consulter dans une entreprise ?

« Jeu collaboratif / Escape Game » sur le thème de la prévention des risques professionnels

  • Compétences analysées : posture, place dans le groupe, interactions, savoir faire valoir ses idées en respectant l’autre, savoir faire preuve d’écoute active, distinguer son ressenti et les faits, s’exprimer utilement,…
  • Mise en lumière des bonnes pratiques dans le cadre du CSE : Définir, respecter et reconnaître les rôles ; informer / consulter (concerter) / négocier
  • Montrer la pertinence d’une approche collaborative

Consolidation des outils et bonnes pratiques pour un dialogue social de qualité au sein de l’entreprise

  • Bilan
  • Co-construction de la charte du dialogue social dans l’entreprise
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Souffrance au travail : comment gérer l’après pour les entreprises?

Interview du 6 mai 2019 par Natacha Kadur.

Souffrance au travail : Comment gérer l’après pour les entreprises ?

Alors que le procès du « harcèlement moral » à France Telecom s’ouvre aujourd’hui , la société, rebaptisée Orange depuis , a parcouru du chemin pour tourner le dos à ses années noires. Comment rétablir la confiance dans des conditions aussi difficiles pour avancer vers « l’après »? Florie Gaestel est spécialisée dans la prévention et la gestion des risques psychosociaux en entreprise et elle a répondu à nos questions.

Florie Gaestel exerce comme psychologue du travail et des organisations dans les Hauts-de-France. 

Depuis quand parle-t-on de risques psychosociaux ?De quoi s’agit-il ?

Les risques psychosociaux sont ceux qui menacent la santé physique et mentale des salariés, en dehors des stricts risques d’accidents industriels par exemple. Il peut s’agir de problèmes de stress, d’épuisement professionnel ou de violences par exemple. Il est certain que la médiatisation de certains cas a favorisé la prise de conscience et donc la vigilance sur ces questions.

Comment gérer la crise dans une entreprise ayant été confrontée à ce type de situations ?

Les professionnels de la santé et de la sécurité au travail pourront dans un premier temps accompagner l’entreprise pour “réagir”, en organisant des cellules d’écoute par exemple. Les dirigeants doivent bien entendu être associés à cette démarche. Sans cela, rien n’est possible. Ensuite, Il faut un engagement de leur part à promouvoir une politique de bien être au travail, afin d’éviter que ces situations ne se reproduisent.

Comment s’y prendre ?

Il faut mettre les choses à plat de manière participative pour faire un diagnostic. Les manifestations de souffrance au travail peuvent être induites par des dysfonctionnements organisationnels ou de communication. La présence d’un intervenant extérieur facilite la libération de la parole. Souvent, la confiance a été rompue et les collaborateurs se confient plus facilement à quelqu’un d’extérieur qu’à leur propre hiérarchie. Il faut identifier ce qui pose problème et les leviers pour agir.

“Souvent, on appelle au secours quand il y a déjà des difficultés (..) C’est quand “tout va bien” qu’il faut se poser des questions pour prévenir les risques.”

Quelles peuvent être les premières mesures concrètes ?

Il peut s’agir de mesures techniques ou organisationnelles. Parfois, les personnels n’ont tout simplement pas été formés à faire ce qu’on leur demande, et la formation peut être une réponse. J’ai vu le cas d’une entreprise ou les personnels étaient régulièrement victimes d’agressions verbales par la clientèle. Une des mesures a consisté à investir pour transformer les conditions d’accueil physique des clients. Dans de grandes organisations matricielles, il peut être parfois difficile de savoir qui fait quoi, là c’est sur la communication qu’il faut agir.

« Il peut s’agir d’une problématique systémique qui nécessite d’être adressée au niveau collectif »

Comment s’assurer que l’organisation ne reproduise pas les mêmes erreurs ?

Souvent, on appelle au secours quand il y a déjà des difficultés. Il ne faut pas attendre qu’elles se présentent. C’est quand “tout va bien” qu’il faut se poser des questions pour prévenir les risques. Chaque entreprise a une problématique différente. Dans le secteur médico-social , comme dans les EHPAD, où j’interviens beaucoup, les risques sont liés à l’exposition à la souffrance des autres. Dans le secteur tertiaire, on rencontre plus souvent des problématiques relationnelles ou organisationnelles. Chaque entreprise doit identifier les risques qui lui sont propres. Après la phase de diagnostic, on peut passer à la formation des personnels en interne. Il peut être judicieux de nommer des référents au sein de l’organisation qui seront des personnes vers qui les collaborateurs doivent se tourner en cas de difficultés.

Comment réagir lorsqu’on est victime ou témoin d’une situation de souffrance au travail ?

Ne pas rester seul. Les personnes qui souffrent au travail ont tendance à culpabiliser et à s’isoler. Or, il peut s’agir d’une problématique systémique qui nécessite d’être adressée au niveau collectif. Il faut se rapprocher d’une personne de confiance: cela peut être un responsable mais aussi un collègue ou le médecin du travail.

Propos recueillis par Natacha Kadur

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Risques psychosociaux en contexte de crise : faites appel à un IPRP!

La crise actuelle liée à COVID 19 amène des modifications importantes en ce qui concerne l’organisation et les relations de travail.

Face à cela, les entreprises doivent évaluer son impact au regard des différents facteurs de risques psychosociaux et interroger ce qui peut faire ressource ou au contraire être problématique pour les collaborateurs sur le plan :

  • de l’intensité et du temps de travail
  • de l’autonomie et des marges de manoeuvre
  • des rapports sociaux au travail
  • des valeurs
  • des exigences émotionnelles
  • de la sécurité des situations de travail

Cette analyse a pour but d’identifier, d’adapter ou de maintenir les mesures de prévention portant sur l’organisation et le management afin de prévenir les risques psychosociaux. 

Dans ce contexte actuel, les actions portant sur la prévention primaire qui se veut davantage collective est donc nécessaire. 

Toutefois, il ne faut pas négliger l’impact de ces changements sur les individus, peu importe leur niveau hiérarchique dans l’entreprise. Un accompagnement, davantage tourné vers la cellule de crise peu également être bénéfique pour l’entreprise et ses collaborateurs.

En effet, en tant que dirigeant d’entreprise, vous pouvez vous trouver en difficulté face au contexte actuel et avoir besoin du soutien d’un psychologue du travail – IPRP pour faire le point sur votre situation, d’extérioriser la charge émotionnelle liée à votre vécu et d’être outillé pour mieux gérer votre stress. Il est primordial de rompre avec l’isolement!

En tant que manager, vous vous interrogez peut-être sur la manière d’accompagner au mieux votre équipe en présentiel ou à distance. Vous cherchez à être sensibilisé ou formé afin de mieux identifier et aider un membre de votre équipe en souffrance au travail (stress, mal-être, conduites addictives renforcées par le confinement, burn-out,…)

Avec les nouveaux modes d’organisations imposés par le télétravail, vous percevez que les relations au sein des équipes ont tendance à se dégrader et vous cherchez à améliorer la cohésion au sein de cette dernière. Il est possible de mettre en place des groupes de discussions centrées sur le travail pour identifier les leviers/ressources ainsi que les freins/difficultés rencontrés par l’équipe. Là encore, l’IPRP peut être une ressource à solliciter pour favoriser et faciliter des échanges constructifs.

En matière de prévention des risques psychosociaux, les entreprises pourront donc s’appuyer sur des actions collectives et/ou individuelles qui n’agissent pas sur les mêmes niveaux de prévention (primaire/tertiaire) mais qui restent complémentaires.

Vous souhaitez être contacté par un IPRP (Intervenant en prévention des risques professionnels) afin d’échanger sur vos problématiques, besoins ou attentes ?

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QVT-RSE : Prévention des Addictions – Mois de novembre sans tabac!

Tabac info service lance au mois de novembre une campagne de sensibilisation avec un défi à réaliser en 30 jours pour arrêter de fumer.

Le tabac, comme les autres types d’addictions sont des pathologies reposant sur la consommation répétée d’un produit ou la pratique à l’excès d’une activité qui amènent les personnes à une dépendance. Ce type de comportement ont des retentissements plus ou moins graves sur la santé et également sur la vie personnelle, sociale et professionnelle.

En entreprise, l’alcool est considéré comme la substance psycho-active ayant le plus d’incidence sur la sécurité des travailleurs, suivi de près par les médicaments psychotropes.

Parler d’addiction indique que les personnes ont un “trouble de l’usage des substances psycho-actives” (usage nocif et/ou dépendance). Or, il existe un certain nombre de comportements intermédiaires qui relèveront de ce que l’on appelle l’usage ou usage simple et qui n’amèneront pas toujours de problème de santé mais qui peuvent néanmoins tendre vers une dégradation de cette dernière dans le temps. L’ensemble des ces aspects est regroupé dans ce que l’on appelle les “pratiques addictives” qu’il est possible de prévenir, en entreprise.

En effet, les pratiques addictives en entreprise, induisent des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs avec la survenue possible d’accidents du travail. En effet, 10 à 20% des accidents du travail seraient dûs à l’alcool, la plupart d’entre eux survenant chez des personnes non dépendantes (Alcool, dommages sociaux, abus et dépendance, coll. « Expertise collec- tive », Paris, Éditions Inserm, 2003)

Il revient à l’employeur d’inscrire le risque lié à ces pratiques dans le document unique d’évaluation des risques professionnels et de mettre en place des actions de prévention collectives pour prévenir ce risque. L’enjeu est multiple : bénéfice pour la santé et la sécurité des salariés et aussi des autres personnes qui interagissent avec eux (client, usagers de la route,…) et bénéfices pour la performance et l’image de l’entreprise.

Vous souhaitez réfléchir à une stratégie collective pour prévenir le risque d’addiction au sein de votre entreprise?

Vous souhaitez mettre en place une procédure de prise en charge des pratiques addictives en entreprise? Vous souhaitez avoir plus d’informations sur le contexte réglementaire lié aux addictions en entreprise?

Vous souhaitez sensibiliser ou former votre personnel sur le thème des addictions?

Vous souhaitez mettre en place un système de prise en charge individuelle par rapport aux addictions?

Nous vous proposons des ateliers pratiques et ludiques basés sur l’intelligence collective pour sensibiliser ou former votre personnel sur le thème des addictions au sein de votre entreprise.